C’est l’heure
Je ne veux pas que tu partes
Ton âme – fragile alouette – se languit de mots et de poésie
La nostalgie du silence nous guette,
Ta palette ilumine déjà de couleurs le sillage de ton ombre,
Et le souvenir qui s’enracine dans nos cœurs,
Est la source de ces larmes.
Le souvenir des fou rires,
Qui meurtri nos âmes.
Belle Aïcha, offre t’a jeunesse à l’éternité.
C’est l’heure.
Tu es déjà partie,
Il est temps de ne plus revenir,
Seulement de rester dans nos souvenirs.
De nouveau souffle le vent d’est,
La brise joyeuse et bourdonnante
Qui fait éco à tes éclats de rire.
Fleurir c’est aimer…
Fleurir éternellement belle amie
Palmyra Montiel